D’une manière globale :
Ce n’est pas juste l’histoire d’une petite graine de pastèque qui va se planter dans le joli bidon de maman rat. C’est aussi l’histoire de la pastèque (donc papa rat), de la maman rat et des p’tites pastèques qui pousseront ainsi.
Alors, je souhaite premièrement avoir des pastèques saines, qui se consomme sur du long terme (non, je ne mange pas mes rats bout par bout !). Donc une histoire d’amour sans réflexion, juste pour avoir des jolies bébés pastèques et qu’elles fanent 6 mois plus tard… non.
Ainsi, je cherche à avoir le moins de consanguinité dans mon travail et pratique donc le outcrossing (portée externe), cela me permet aussi de ne pas être seule et d’avoir de bonne position pour tel ou tel choix. Après, il m’arrivera peut-être de travailler avec deux rats de ma propre raterie mais sans lien de sang.
Vous comprendre que j’aime TOUTES mes petites pastèques, les belles, les communes, les handicapés et les mises de côté. Chaque pastèque à le droit de vivre, donc j’assume toute portée et ne ferais pas de favoritisme par rapport à un trait physique (on parle d’une VIE, pas d’un jouet).
En ce qui concerne le choix des porteurs de graines/des receveuses de graines (papa et maman rat, aimez ma clairvoyance dans mes écrits), c’est simple mais pourtant compliqué :
On sera tous d’accord, qu’on souhaite tous des rats meugnons tout plein ? (sauf si vous voulez une pastèque d’attaque, mais ça je ne fais pas) Donc pour cela, quelque soit le sexe, je souhaite une pastèque qui s’entend avec tout le monde (pastèque et humain), donc pas un dictateur de potager ou de petite plante chétive qui se laisse écraser par tout le monde au point d’en devenir flippée.
Pour la technique, repassons en langage ratesque.
Un minimum de 12 mois et de 500g pour un mâle avec une généalogie connu, 18 mois pour les autres (bah on veut des p’tites graines saines, nan ?). Dans le premier cas, cela sera leur première ou deuxième portée… pour le deuxième cas, leur unique.
Un minimum de 5 mois et un maximum de 8 mois, avoisinant les 250gr pour les femelles, quelque soit sa généalogie (ATTENTION je serais encore plus regardante sur les filles que sur les mecs).
Bon, et en pratique, ça donne quoi ?
Alors, maintenant que tout est bien organisé, qu’on a choisi une bonne pastèque (oui, je recommence avec mes métaphores… et alors ?!), une bonne maman rat, comment ça se passe ici ?
Déjà, papa rat (avec un poto, c’est plus rigolo) vient à la maison et passe quinze jours en quarantaine dans une cage totalement adaptée à ses besoins (mais pas au mien, c’chiant à nettoyer cette caaage…).
Puis pendant ce temps, je me concentre sur maman rat. Sur le moment où elle est le plus apte à rencontrer le futur papa pour qu’il lui donne quelques graines.
Alors dans un premier temps, si on souhaite que le courant passe bien entre nos deux protagonistes, on leur fait faire une petite rencontre amicale. Si ça marche, dès que maman rat à ses chaleurs, c’est go à l’étape suivante.
S’ils se foutent royalement l’un de l’autre (quelque soit l’étape), ils se re-rencontrent dans une cage plus petite (celle de maternité, tant qu’à faire).
Et quand c’est fait… c’est fait !
Après je délaisse totalement papa rat (il sert plus à rien, bah quoi ?! … je plaisante, hein) et je m’occupe de maman rat, si son bidon gonfle bien sous la pousse des petites pastèques, si les p’tits extra lui plaisent de sorte d’avoir une jolie maman rat bien en forme !
En fonction de la maman, je la mets au maximum, 3 jours avant la mise bas dans ses quartiers de maternité (plus vulgairement, une cage en plexi).
J’essaye d’être là un maximum lors de la sorties des petites pastèques, sans pour autant gêner maman. Puis une fois les petites plantes sorties, maman au calme je me permets de compter (et sexer mais ça j’attends le deuxième jour, ça me permet de ne pas dire de conneries…) et de les manipuler un peu. Manipulation quotidienne pour les habituer un maximum à l'être humain (et gagater un max) !
Puis le temps poursuit son cours… les bébés grandissent.
Quand ils vadrouillent bien, aux alentours de leur 2/3 semaines, après que les yeux se soient bien ouvert, ils intègrent la cage d'éveil avec leur maman. Ils commencent aussi à rencontrer mes femelles adultes et à sortir sur un terrain de jeu bien définit (des fois qu'ils se fassent la malle...).
Au début de leur 4ème semaine, ils reçoivent une toute petite goutte de stronghold (avec l'aide d'un coton tige) .
Les sexes sont séparés vers le début de la 5ème semaine, les filles avec les filles, les mecs avec les mecs (logique).
Puis vient le moment du départ... c'est à dire vers la 6ème semaine.
Je garde contact avec les adoptants (des gens bien j'vous dis) et on met en place un suivi régulier (un p'tit truc à remplir tous les deux mois) qui est posté sur une autre partie de mon site.
Ce n’est pas juste l’histoire d’une petite graine de pastèque qui va se planter dans le joli bidon de maman rat. C’est aussi l’histoire de la pastèque (donc papa rat), de la maman rat et des p’tites pastèques qui pousseront ainsi.
Alors, je souhaite premièrement avoir des pastèques saines, qui se consomme sur du long terme (non, je ne mange pas mes rats bout par bout !). Donc une histoire d’amour sans réflexion, juste pour avoir des jolies bébés pastèques et qu’elles fanent 6 mois plus tard… non.
Ainsi, je cherche à avoir le moins de consanguinité dans mon travail et pratique donc le outcrossing (portée externe), cela me permet aussi de ne pas être seule et d’avoir de bonne position pour tel ou tel choix. Après, il m’arrivera peut-être de travailler avec deux rats de ma propre raterie mais sans lien de sang.
Vous comprendre que j’aime TOUTES mes petites pastèques, les belles, les communes, les handicapés et les mises de côté. Chaque pastèque à le droit de vivre, donc j’assume toute portée et ne ferais pas de favoritisme par rapport à un trait physique (on parle d’une VIE, pas d’un jouet).
En ce qui concerne le choix des porteurs de graines/des receveuses de graines (papa et maman rat, aimez ma clairvoyance dans mes écrits), c’est simple mais pourtant compliqué :
On sera tous d’accord, qu’on souhaite tous des rats meugnons tout plein ? (sauf si vous voulez une pastèque d’attaque, mais ça je ne fais pas) Donc pour cela, quelque soit le sexe, je souhaite une pastèque qui s’entend avec tout le monde (pastèque et humain), donc pas un dictateur de potager ou de petite plante chétive qui se laisse écraser par tout le monde au point d’en devenir flippée.
Pour la technique, repassons en langage ratesque.
Un minimum de 12 mois et de 500g pour un mâle avec une généalogie connu, 18 mois pour les autres (bah on veut des p’tites graines saines, nan ?). Dans le premier cas, cela sera leur première ou deuxième portée… pour le deuxième cas, leur unique.
Un minimum de 5 mois et un maximum de 8 mois, avoisinant les 250gr pour les femelles, quelque soit sa généalogie (ATTENTION je serais encore plus regardante sur les filles que sur les mecs).
Bon, et en pratique, ça donne quoi ?
Alors, maintenant que tout est bien organisé, qu’on a choisi une bonne pastèque (oui, je recommence avec mes métaphores… et alors ?!), une bonne maman rat, comment ça se passe ici ?
Déjà, papa rat (avec un poto, c’est plus rigolo) vient à la maison et passe quinze jours en quarantaine dans une cage totalement adaptée à ses besoins (mais pas au mien, c’chiant à nettoyer cette caaage…).
Puis pendant ce temps, je me concentre sur maman rat. Sur le moment où elle est le plus apte à rencontrer le futur papa pour qu’il lui donne quelques graines.
Alors dans un premier temps, si on souhaite que le courant passe bien entre nos deux protagonistes, on leur fait faire une petite rencontre amicale. Si ça marche, dès que maman rat à ses chaleurs, c’est go à l’étape suivante.
S’ils se foutent royalement l’un de l’autre (quelque soit l’étape), ils se re-rencontrent dans une cage plus petite (celle de maternité, tant qu’à faire).
Et quand c’est fait… c’est fait !
Après je délaisse totalement papa rat (il sert plus à rien, bah quoi ?! … je plaisante, hein) et je m’occupe de maman rat, si son bidon gonfle bien sous la pousse des petites pastèques, si les p’tits extra lui plaisent de sorte d’avoir une jolie maman rat bien en forme !
En fonction de la maman, je la mets au maximum, 3 jours avant la mise bas dans ses quartiers de maternité (plus vulgairement, une cage en plexi).
J’essaye d’être là un maximum lors de la sorties des petites pastèques, sans pour autant gêner maman. Puis une fois les petites plantes sorties, maman au calme je me permets de compter (et sexer mais ça j’attends le deuxième jour, ça me permet de ne pas dire de conneries…) et de les manipuler un peu. Manipulation quotidienne pour les habituer un maximum à l'être humain (et gagater un max) !
Puis le temps poursuit son cours… les bébés grandissent.
Quand ils vadrouillent bien, aux alentours de leur 2/3 semaines, après que les yeux se soient bien ouvert, ils intègrent la cage d'éveil avec leur maman. Ils commencent aussi à rencontrer mes femelles adultes et à sortir sur un terrain de jeu bien définit (des fois qu'ils se fassent la malle...).
Au début de leur 4ème semaine, ils reçoivent une toute petite goutte de stronghold (avec l'aide d'un coton tige) .
Les sexes sont séparés vers le début de la 5ème semaine, les filles avec les filles, les mecs avec les mecs (logique).
Puis vient le moment du départ... c'est à dire vers la 6ème semaine.
Je garde contact avec les adoptants (des gens bien j'vous dis) et on met en place un suivi régulier (un p'tit truc à remplir tous les deux mois) qui est posté sur une autre partie de mon site.